En France, la proportion de daltoniens est d’environ 8% chez les hommes et 0,45% chez les femmes (source Wikipédia). Plus de 10% de la population masculine est daltonienne dans le monde, et affectée par une perception des couleurs déficiente. Il existe différentes formes de cécité des couleurs : rouge-vert, vert-brun, et ainsi de suite… Bien entendu, il est très difficile, voire impossible d’éviter de mettre sur son site toutes les couleurs qui pourraient être mal perçues.

Cependant, il est à la portée de tout le monde de faire en sorte que les pages soient lisibles par tous, quel que soit le handicap visuel. La première méthode et la plus simple à mettre en œuvre est l’emploi d’un contraste élevé entre l’arrière plan et les couleurs utilisées pour le contenu de la page.

schéma de contrastes pour daltoniens

 

Dans cet exemple on voit bien que C et E sont plus facilement lisibles parce que le contraste est assez fort. L’affichage de votre page en niveaux de gris peut montrer si oui ou non il y a suffisamment de contraste. Il existe également plusieurs outils en ligne pour effectuer des tests :

  • Snook Color Contratst Checker permet d’indiquer si la différence de contraste entre les couleurs est suffisant pour les différents types daltonisme, en précisant la conformité aux critères WCAG 2Snook Color Contratst Checker
  • ColorSchemeDesigner permet de simuler la vision d’une palette de couleurs par un daltonien grâce à l’outil « vision simulation »Capture de Color Scheme Designer

    Capture de Color Scheme Designer

En plus de faire attention aux couleurs employées, je vous rappelle qu’il est important de garder à l’esprit que la couleur ne soit jamais la seule indication de sens. Par exemple :

  • distinguer les liens du texte normal en les soulignant
  • ne pas conditionner les actions de l’utilisateur en faisant appel aux couleurs (ex : « cliquez sur le bouton rouge »)
  • toujours prévoir une alternative texte pour les images (attribut alt)
  • le texte ne doit pas être remplacé par une image (sans alternative) pour permettre à l’utilisateur de l’agrandir ou d’utiliser sa propre feuille de style contrastée

source : http://www.alsacreations.com


Ce tutoriel a été écrit par Julian Descottes, contributeur émérite au guide Facebook: On s’y retrouve ! Merci à toi Julian.

1. Ce dont vous avez besoin

Créer une application Facebook peut être simple et rapide, mais requiert d’avoir quelques ressources à sa disposition. La première chose à savoir avant de se lancer est que Facebook n’héberge pas les applications. Pour en créer une, vous devez donc avoir accès à un serveur sur lequel vous pourrez la déposer. Ce serveur doit aussi être capable d’exécuter un des nombreux langages supportés par Facebook : PHP, ASP, Java, Perl… Passé cela, il suffit de quelques notions de développement Web pour réussir !

2. Facebook Developer Application

Avant de commencer la création d’une première application, vous devez ajouter l’application Facebook Developer (http://www.facebook.com/developers/). Elle vous fournira tous les outils pour commencerla création de vos applications. Une fois qu’elle est installée, lancez l’application Facebook Developper pour créer le profil de votre future application.

 

3. Remplir le formulaire de création

Cliquez sur Set up a new Application pour débuter (voir Figure 05.35) la création de l’application. Pour l’instant, tout ce que la plate-forme Facebook demande pour créer votre application, c’est son nom. Bien qu’optionnels lors de la création, certains champs sont nécessaires au fonctionnement de toute application :
– Callback URL. Cette URL devra correspondre à l’adresse de votre application, sur votre serveur.
– Canvas Page URL. Cette URL sera l’adresse Facebook de votre application. Chaque application doit utiliser une adresse unique, donc à vous de trouver un identifiant original !

4. Quelques autres options importantes

– Use FBML/Use iFrame. Choisissez Use FBML, c’est le choix le plus courant et le plus documenté.
– Application type : Website/Desktop. Ici, on développe une application destinée à être utilisée directement sur Facebook,
– Can your application be added on Facebook ? Autrement dit : Est-ce que cette application peut être utilisée sur Facebook ? Choisissez Yes afin d’être en mesure d’ajouter cette application sur votre compte, pour la tester par exemple.
Cette dernière action entraîne l’apparition de deux catégories d’options supplémentaires : Installation Options et Integration Point. Dans l’immédiat, cochez Developer Mode dans Installation Options. Ainsi, personne d’autre que son développeur – vous – ne pourra ajouter l’application pour l’instant. Puis recopiez votre Canvas Page URL dans le champ Side Nav URL de la catégorie Integration Point.
Une description détaillée (en anglais) est disponible à l’adresse : http://www.marketing-ninja.com/?p=55.
Une fois ce profil renseigné, Facebook a enregistré votre application dans sa base de données et va fournir deux précieux renseignements pour la suite des opérations : une API-Key et un Secret. Ces deux éléments seront utilisés dans le code de votre application afin de communiquer avec les services fournis par Facebook. Maintenant que l’application est en règle, il est temps de lui donner vie.

5. Choisir son langage de programmation

Le développement d’une application Facebook ressemble à celui d’une application Web, allégée de toutes les fonctionnalités prises en charge par Facebook. Ici, du compte d’un utilisateur à la gestion de son réseau social, tout est pris en charge par la plate-forme.
Facebook propose ses API (Application Programming Interface) pour de nombreux langages. Vous pouvez les retrouver et les télécharger à l’adresse suivante : http://wiki.developers.facebook.com/index.php/Main_Page.
Si vous avez déjà une expérience avec le développement d’applications Web, il y a de fortes chances pour que vous retrouviez des langages connus parmi ceux proposés. Si vous débutez complètement en développement Web, PHP 5 est un bon point de départ. Gratuit, il est à la base de la plupart des guides de développement pour applications Facebook.

6. Un exemple simple avec PHP 5

Commencez par télécharger et décompresser l’API réservée à PHP et déposez-la sur le serveur qui hébergera votre application Facebook. Puis, à la racine de votre application (c’est-à-dire votre Canvas URL), créez le fichier index.php comme suit

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<?php
/*On importe l’API de facebook*/
require_once('facebook/client/facebook.php');
/*Grâce aux codes fournis lors de la création de votre
application, créez l’objet “facebook” qui donnera accès
aux fonctions de l’API*/
$facebook = new Facebook(cle_api, code_secret);
/*On demande à l’utilisateur de s’identifier auprès de notre
application. L’objet “utilisateur” contient alors l’identifiant unique
de l’utilisateur */
$utilisateur = $facebook->require_login();
/*Enfin, le cœur de notre application, dire bonjour ! On affiche “Bonjour”, suivi du nom de l’utilisateur.*/
?>
Bonjour <fb:name uid='<?php echo $fb_user; ?>' useyou='false' possessive='true' />

7. Le langage de programmation de Facebook : Facebook Markup Language

Les applications Facebook utilisent un langage sur mesure pour décrire leurs interfaces : le FBML (FaceBook Markup Language). Cette extension du HTML vous permettra d’accéder directement aux ressources clés de Facebook, comme les données sociales, tout en vous assurant que votre application s’intégrera parfaitement dans l’environnement Facebook. Voici quelques exemples d’éléments d’interface bien pensés :
– <fb:name> Déjà rencontré, permet d’afficher le nom d’un utilisateur.
– <fb:comments> Permet d’ajouter un mur de commentaires à votre application.
– <fb:visible-to-owner> Et toutes les déclinaisons Visible to friends, etc., afin de filtrer finement l’affichage de l’application.
En complément de ces éléments spécifiques à Facebook, il reste possible d’utiliser des éléments HTML pour compléter l’interface de votre application. La référence complète du FBML est disponible sur le wiki de développement Facebook :

http://wiki.developers.facebook.com/index.php/FBML

8. Pour aller plus loin

Pour mieux appréhender les possibilités fournies par la plate-forme Facebook, la meilleure solution reste encore de consulter directement les ressources mises à disposition sur le site officiel (uniquement en anglais pour le moment) :

http://developers.facebook.com/

http://developers.facebook.com/documentation.php

http://wiki.developers.facebook.com/index.php/Main_Page

Documentation sur FQL, le langage de requêtes dédié aux applications Facebook :

http://developers.facebook.com/documentation.php?v=1.0&doc=fql

Guide de développement d’une application simple avec PHP et MySQL :

http://developers.facebook.com/step_by_step.php

Enfin, n’attendez pas que votre application soit finie pour réaliser quelques tests. Utilisez les outils fournis dans ce but :

http://developers.facebook.com/tools.php

9. Finaliser son application

Une fois votre application finie (félicitations !), vous pouvez la diffuser à vos contacts. Pour cela, rendez-vous sur la page recensant toutes vos applications http://www.facebook.com/developers/apps.php et cliquez sur Edit Settings.
Sous la rubrique Installation Options, décochez Developer Mode. Il peut être intéressant de renseigner maintenant quelques autres champs :
– Post-Add URL. Lorsque quelqu’un installe votre application, il est redirigé vers cette URL. Idéalement, recopiez ici la Canvas URL de votre application afin qu’il puisse commencer à utiliser votre application.
– Application Description. Un petit texte pour décrire votre application.
– Post-Remove URL. Après qu’un utilisateur aura supprimé l’application, il sera redirigé vers cette adresse.
– Wide/Narrow. Choisissez ici la colonne dans laquelle l’application sera ajoutée par défaut. Wide (étendue) correspond à la colonne de droite, Narrow (étroite) à celle de gauche.
Enfin, dans les options de base, finalisez votre application en lui associant une icône de 16 ´ 16 pixels. Vous pouvez maintenant donner la fameuse Canvas URL à vos contacts, et elle peut commencer à se diffuser librement sur le réseau.

10. Faciliter la diffusion de son application

Pour que votre application puisse apparaître dans le moteur de recherche de Facebook, et donc augmenter ses chances de trouver de nouveaux utilisateurs, il faut l’envoyer au Product Directory de Facebook. Vous trouverez le lien à la page My Apps de votre application Developer. Pour envoyer votre application, il faut que vous ayez défini une icône et qu’elle ait déjà cinq utilisateurs. Pensez aussi à indiquer dans quelle(s) catégorie(s) votre application doit être classée. Vous pouvez la choisir via le lien Edit About Page. Facebook vous invitera alors à choisir une grande icône pour représenter votre application parmi les résultats de recherche. Après avoir été examinée, votre application devrait être incluse dans le moteur de recherche Facebook et accessible à tous.

source


Si vous êtes développeur PHP, vous devez lire au moins une fois cette cinquantaine de commandements PHP !

Quelle fonction utiliser plutôt qu’une autre, comment améliorer les performances de vos scripts, les bonnes pratiques …

phpCes commandements sont une traduction du billet de chez HM2K que j’ai jugé très intéressant et que je souhaite faire partager aux développeurs non anglophones.

 

  1. echo est plus rapide que print. [Citation]
  2. Mettre ses chaines de caractères entre simple quotes ‘…’ est plus rapide qu’entre des doubles quotes « … » car PHP analyse s’il y’a des variables entre les doubles quotes. Utiliser les simple quote pour du texte pur.
  3. Utiliser sprintf au lieu de mettre des variables dans des double quotes, C’est 10x plus rapide. [Citation]
  4. Utiliser les paramètres multiples dans un echo au lieu de la concaténation des chaines. [Citation]
  5. Utiliser le plus possible des variables pour les calculs, éviter de les mettre dans les boucles. Exemple
    1.<a onclick="window.open(this.href); return false;" href="http://www.php.net/for">for</a> ($x=0; $x < count($array); $x)

    La fonction count est appelée à chaque boucle, mieux vaut utiliser $max=count($array) pour stocker le résultat du calcul avant la boucle. [Citation]

  6. Pensez à unset ou rendre null vos variables, en particulier les gros tableaux. [Citation]
  7. Eviter les méthodes magiques comme __get, __set, __autoload. [Citation]
  8. Utiliser require() au lieu de require_once() quand c’est possible. [Citation]
  9. Utilisez desz chemins complets dans vos include et require. C’est du temps gagné pour la résolution du chemin au niveau de votre OS. [Citation]
  10. require() et include() sont identiques à part que require arrete le script si le fichier n’est pas trouvé. Les performances sont quasi identiques. [Citation]
  11. Depuis PHP5, l’heure de démarrage d’un script peut être trouvé grâce à $_SERVER[’REQUEST_TIME’], à utiliser à la place de time() ou microtime(). [Citation]
  12. PCRE regex est plus rapide que EREG, mais il faut toujours regarder s’il n’est pas posssible d’utiliser une fonction native comme strncasecmp, strpbrk et stripos à la place. [Citation]
  13. Quand vous parsez du XML en PHP essayez xml2array, qui permet d’utiliser les fonctions PHP XML, pour du HTML vous pouvez essayer DOM document ou DOM XML en PHP4. [Citation]
  14. str_replace est plus rapide que preg_replace, str_replace est globalement le meilleur dans tous les cas, même si quelques fois strtr est plus rapide avec des chaines longues. Utiliser un array() dans str_replace est plus rapide que d’utiliser plusieurs str_replace. [Citation]
  15. “else if” est plus rapide qu’un case/switch. [Citation]
  16. La suppression d’erreurs avec @ est très lent. [Citation]
  17. Pour réduire l’utilisation de la bande passante, il faut activer le mode mod_deflate dans Apache2 [Citation] ou mod_gzip pour Apache1. [Citation]
  18. Fermer les connexions aux BDD après les avoir utilisé. [Citation]
  19. $row[’id’] est 7 fois plus rapide que $row[id], car si vous ne mettez pas les quotes, PHP Pense qu’il va s’agir d’une constante. [Citation]
  20. L’utilisation de tags d’un autre style ou des shorts tags pour ouvrir du code PHP est déconseillé. [Citation]
  21. L’utilisation d’un code strict permettant de supprimer toutes les erreurs, warning etc est conseillé. error_reporting(E_ALL) doit toujours être activé. [Citation]
  22. Les scripts PHP sont rendus 2 à 10 fois moins rapidement par Apache qu’une page statique. Essayez d’utiliser au maximum des pages statiques. [Citation]
  23. Les scripts PHP sont compilés à la volée (si pas de cache). Installez un système de cache PHP (comme memcached, eAccelerator ou Turck MMCache) permet d’augmenter de 25-100% les performances. [Citation]
  24. Une alternative aux systèmes de cache est de générer régulièrement le rendu en HTML statique. Essayez Smarty ou Cache Lite. [Citation]
  25. Utilisez isset où c’est possible au lieu de strlen. (ie: if (strlen($foo) < 5) { echo “Foo is too short”; } vs. if (!isset($foo{5})) { echo “Foo is too short”; } ). [Citation]
  26. ++$i est plus rapide que $ i++, donc utilisez le pre-increment quand c’est possible. [Citation]
  27. Ne réinventez pas la roue, utilisez les fonctions natives de PHP qui seront toujouts plus rapides; Si vous avez le temps de réecrire, faites le sous forme de modules C / C++. [Citation]
  28. Analysez votre code (Profiler). Utilisez Xdebug debugger pour profilker du code PHP. [Citation]
  29. Documentez  votre code. [Citation]
  30. Apprenez les différences entre du bon et du mauvais code. [Citation]
  31. Utilisez les standarts pour une meilleure compréhension de votre code par les autres. [Citation]
  32. Séparez les couches: Contenu, PHP et HTML. HTML dans un autre fichier que le PHP. [Citation]
  33. IL n’est pas obligatoire d’utiliser des systèmes de templates complexes comme Smarty, PHP en intègre déjà, regardez  ob_get_contents et extract. [Citation]
  34. Ne jamais avoir confiance en les variables utilisateurs: $_POST et $_GET. Utilisez mysql_real_escape_string quand vous utilisez MySQL, et htmlspecialchars quand vous rendez du HTML. [Citation]
  35. Pour des raisons de sécurité, ne dévoillez jamais d’infos concernant vos paths, extensions et configuration, comme utiliser display_errors ou phpinfo(). [Citation]
  36. Désactivez register_globals (Normalement désactivé par défaut, pas pour rien!). L’utiliser = risque de sécurité. Bientôt, le PHP6 supprimera complètement cette fonction ! [Citation]
  37. Ne jamais utiliser du texte clair pour stocker les mots de passe ou les comparer. Utilisez un hash md5 au minimum. [Citation]
  38. Utilisez ip2long() et long2ip() pour stocker les adresses IP en INT plutôt qu’en STRING. [Citation]
  39. Pour ne pas réinventer la roue, vous pouvez utiliser les nombreux projets PEAR souvent standarts. [Citation]
  40. Quand vous utilisez header(’Location: ‘.$url); n’oubliez pas d’y faire suivre un die(); car le script continue de tourner même après l’instruction. [Citation]
  41. En POO, si une méthode peut être static, alors déclarez la en static. Elle sera 4 fois plus rapide. [Citation].
  42. Incrémenter une variable locale dans une méthode POO est le plus rapide. [Citation]
  43. Incrémenter une propriété d’un objet (eg. $this->prop++) est 3 fois plus lent qu’une variable locale. [Citation]
  44. Incrémenter une variable indéfinie est 9-10 fois plus lent qu’une variable pré définie. [Citation]
  45. Déclarer une variable globale dans une fonction sans l’utiliser ralenti les choses. PHP doit faire une sorte de check sur la variable pour vérifier qu’elle existe. [Citation]
  46. Le nombre de méthodes dans une classe ne change rien aux performances d’appel d’une méthode. [Citation]
  47. Les méthodes d’une classe dérivée vont plus vite que celles de la classe mère. [Citation]
  48. Une fonction appelée avec un ou zéro paramètre prend environ 7-8 fois un $localvar++. 15 $localvar++ pour l’appel d’une méthode similaire. [Citation]
  49. Tout ne doit pas être objet, chaque méthode et propriété consomme de la mémoire. [Citation]
  50. Echappez les chaines provenant de l’extérieur avec mysql_real_escape_string, au lieu de mysql_escape_string ou addslashes. Si magic_quotes_gpc est activé, mieux vaut utiliser stripslashes en premier. [Citation]
  51. Attention lors de l’utilisation de mail() et de ses headers, il y’a des failles de sécurité. [Citation]
  52. Il faut unset les variables que l’on ne se sert plus après s’être connecté à la BDD

Vous n’avez plus qu’à respecter tout ces conseils pour avoir un code PHP optimisé !


Sans commentaire…


phpDocumentor est un générateur de documentation pour PHP et à pour fonction de créer une documentation de votre programme source « élément parfois négligé« . Pour y parvenir, il s’appuie sur les commentaires inclus à l’intérieur de votre code source. D’où l’importance de bien expliciter vos routines, fonctions et autres procédures.

Les caractéristiques principales de phpDocumentor sont :

  • Génération hors ligne
  • Génération en ligne
  • Templates personnalisables
  • guide, phpdoc
  • Formats de sortie en HTML, CHM, PDF, XML

Avoir recours à phpDocumentor vous permettra de pouvoir revenir sur un code après un long moment, de permettre à d’autres développeurs de voir en un clin d’oeil la structure de votre application et une meilleure maintenance du code.

phpDocumentor peut-être utilisée de deux manières : soit en mode graphique avec l’interface web, soit en ligne de commande.

Le site de phpDocumentor.

La documentation sur phpDocumentor.

Le téléchargement de phpDocumentor.

Installation rapide de PhpDocumentor :

Vous l’aurez deviné, il faut tout d’abord le télécharger C’est par ici.

Une fois décompressé vous allez mettre votre dossier PhpDocumentor dans la racine de votre dossier www.

Bravo vous avez installé PhpDocumentor

Comme vous l’imagez PhpDocumentor met un certain temps pour générer toute la documentation d’une application php. Et apache par défaut limite le traitement du script php à 30 secondes. Ce qui bien évidement ne suffit pas pour faire tourner PhpDocumentor. Pour pallier ce problème il suffit de modifier fichier php.ini :

max_execution_time = 0;
max_input_time = 0;

Comme ça on est tranquille il n’y a plus de limite

Configuration de PhpDocumentator

Il faut se rendre à la page d’administration de PhpDocumentor.

En haut à gauche vous allez voir ce menu :

C’est l’onglet Files qui va nous intéresser.

Directory to parse : C’est le chemin du dossier où se situe votre application php (celui que phpDocumentor va traiter)

Files to ignore : On doit indiquer les types de fichier à ne pas traiter (ex : *.png, *.jpg, *.css)

Passons maintenant à l’onglet Output.

Target : Nous allons indiquer l’adresse où notre documentation va être générée ( ex: C:wampwwwdoc)

Output Format : C’est la forme que prendra votre doc (vous aurez le choix entre du xml , html ou pdf)

La dernière modification sera dans l’onglet Options.

Generated Documentation Title : C’est le nom de votre documentation.

Génération de la documentation

La c’est le plus simple on a juste à cliquer sur un bouton :

La il faut attendre un peu que le script se génère. La durée est relative à la taille de votre application.

Si vous voyez ça, c’est que votre doc est bien généré :

Oui, ma doc est bien formée, mais j’ai pratiquement pas d’information dessus.
Mais comment cela se fait-il ?

Si vous avez une documentation appauvrie, c’est que vous avez mal commenté vos fonctions dans votre code source php.

Voici un exemple qui devrait faire une documentation assez complète :

01
02
03
04
05
06
07
08
09
10
11
12
/**
* @author Roul
* @access public
* @param float $fNombre
* @todo double le nombre entré en paramètre
* @return float
*/
public function double(float $fNombre)
{
return $fNombre*2;
}

Si vous voulez plus d’indications sur le formatage des commentaires je vous conseille de lire ceci


L’outil s’appel XRefresh.

Il peut aider les concepteurs et développeurs Web  à gagner du temps pour rafraîchir le navigateur web automatiquement à chaque fois fois que vous faites une modification du fichier source. C’est simple mais utile en particulier si vous avez deux moniteurs, où l’éditeur et le navigateur Web s’exécute sur chacun d’eux. Lorsque vous  Enregistrer le fichier source »CTRL + S », XRefresh le détectera et actualisera la page web pour vous.

Xrefresh est capable de remplacer le CSS externe d’un fichier lié avec la version mise à jour sans recharger la page entière. C’est ce qu’on appel «rafraîchir en douceur» et il est très pratique dans des applications dynamiques de type AJAX. La page peut rester dans le même état sans « clignoter » lors d’un rafraîchissement. Grâce à cette fonctionnalité, vous pouvez acquérir une expérience similaire comme Firebug à la volée lors d’édition de CSS (sans la douleur de la synchronisation des changements de retour aux sources originales). Cette option est désactivée par défaut, vous devez l’activer dans le menu xrefresh (sous le menu contextuel sur le bouton onglet xrefresh).


Si vous êtes développeur Web, il n’est pas rare de vider le cache pour remettre à zéro l’affichage d’un site en cours de création. Cette action s’effectue généralement via le raccourci Ctrl + F5 mais cette astuce permet d’ajouter un bouton dédié dans notre barre d’outils.

Empty Cache Button est un module pour Mozilla Firefox. Il ajoute simplement la possibilité d’ajouter un bouton pour vider en un clic la totalité du cache  navigateur.

Encore en version expérimentale, il est nécessaire de cocher Je veux installer ce module expérimental pour autoriser le téléchargement.

Une fois installé, faites un clic droit Personnaliser depuis votre barre d’outils.

De la même façon que pour n’importe quel bouton, glissez puis déposez le bouton Empty Cache à l’emplacement de votre choix (sur la barre d’outils). Un clic suffit pour vider le cache du navigateur bien qu’il soit nécessaire de configurer les options pour ordonner une suppression totale – notamment des images (non coché par défaut).

Avec Empy Cache Button, votre cache se videra complètement vous permettant de disposer d’une version à jour du site que vous visitez ou développez.

lien de l’extension: Empty Cache Button 1.3

Source: Protuts.net

Astuces Firefox

Publié: 17/02/2011 dans Astuces informatique
Tags:,

Mozilla Firefox – le meilleur navigateur avec de nombreuses fonctionnalités intéressantes. Et en ajoutant des extensions le navigateur devient de mieux en mieux super, mais regardez sous le capot, il y a un tas de caché (et certains pas-si-secret) des trucs et astuces qui seront disponibles manivelle sur Firefox et proxénète votre navigateur.

Raccourcis clavier

Cela peut prendre juste quelques minutes pour apprendre sa, mais une fois que vous le faites, votre parcours sera super rapide. Voici quelques-unes des plus courantes (et mes favs personnelle):

Barre d’espace (page vers le bas)
Maj + Barre d’espace (page up)
Ctrl + F (recherche)
Alt-N (Doc. suivante)
Ctrl + D (page dans les favoris)
Ctrl + T (nouvel onglet)
Ctrl + K ou F6 (Aller à la boîte de recherche)
Ctrl + L (Aller à la barre d’adresse)
Ctrl + + (augmentation de la taille)
Ctrl + – (diminuer la taille)
Ctrl + W (Fermer l’onglet)
F5 (recharge)
Alt + Home (Aller à la page d’accueil)

Raccourcis souris

il excite aussi des raccourcis souris+clavier:

cliquez sur la roulette ou bien le bouton du milieu (s’ouvre dans un nouvel onglet)
Maj + défilement vers le bas (page précédente)
Maj + défilement vers le haut (voir page suivante)
Ctrl + défilement vers le haut (la taille du texte diminution)
Ctrl + faire défiler vers le bas (augmentation de la taille du texte)
Vous pouvez voir toutes clavier Firefox et raccourcis souris

Auto-complétion adresse du site Web.

C’est un autre raccourci clavier, mais ce n’est pas généralement connu et très utile. Aller à la barre d’adresse (Ctrl + L) et tapez le nom du site sans les www ou la com.. Disons que Google.Ensuite, appuyez sur Ctrl + Entrée, et il va automatiquement remplir le www et le com. Et vous y – tellement cool!
Pour un autre domaines:
. Net (Maj + Entrée)
. Org (Maj + Ctrl + Entrée)
Navigation par onglets.

Au lieu d’utiliser la souris pour sélectionner les différents onglets que vous avez ouverts, utilisez le clavier. Voici les raccourcis:

Ctrl + Tab (rotation vers l’avant entre les onglets)
Ctrl + MAJ + Tab (tourner vers l’onglet précédent)
Ctrl 1-9 (choisir un numéro pour accéder à un onglet spécifique)
Supprimer des éléments de l’histoire de la barre d’adresse

la capacité de Firefox pour afficher automatiquement les URL précédente déjà visités, que vous tapez, dans l’adresse de barres de menu déroulant l’histoire est très cool. Mais parfois vous juste ne veux pas les URL de se présenter (je ne demanderai pas pourquoi). Aller à la barre d’adresse (Ctrl + L), commencez à taper une adresse, et le menu déroulant apparaît avec les adresses URL des pages visitées avec ces lettres entre eux. Utilisez la flèche vers le bas pour descendre à une adresse que vous souhaitez supprimer et appuyez sur la touche Suppr pour la faire disparaître.
Note: Vous pouvez utiliser cette astuces pour supprimer souviens nom d’utilisateur ou de se souvenir des formes.

Accélérer Firefox.

Si vous avez une connexion haut débit, vous pouvez utiliser le pipelining pour accélérer votre page se charge. Cela permet à Firefox de charger de multiples choses sur une page à la fois, au lieu d’un à la fois (par défaut, son optimisé pour les connexions commutées). mais comment:

Type about: config dans la barre d’adresse et de retour . network.http Type dans le domaine de filtre, et modifier les paramètres suivants (double-cliquez dessus pour les changer):
Set network.http.pipelining à true
Set network.http.proxy.pipelining à true
network.http.pipelining.maxrequests Set à un certain nombre comme 30. Cela lui permettra de faire 30 demandes à la fois.
Aussi, faites un clic droit n’importe où et sélectionnez Nouveau -> Integer. Nommez-le nglayout.initialpaint.delay et définir sa valeur à 0. Cette valeur est la quantité de temps le navigateur attend avant d’agir sur les informations qu’il reçoit.

Limiter l’utilisation de RAM.

Si Firefox prend trop de mémoire sur votre ordinateur, vous pouvez limiter la quantité de RAM il est permis de nous.

Aller à about: config
browser.cache.disk.capacity browser.cache Filtrer et sélectionnez
Son ensemble à 50000, mais vous pouvez le moins, selon la quantité de mémoire dont vous disposez. Essayez 15000 si vous avez entre 512Mo et 1Go de RAM.
Réduire l’utilisation de RAM supplémentaire pour quand Firefox est minimisé.

Ce réglage se déplacera Firefox sur votre disque dur lorsque vous les minimiser, prenant beaucoup moins de mémoire. Et il n’ya pas de différence notable dans la vitesse lorsque vous restaurez Firefox, de sorte que son vaut vraiment le coup.

Aller à about: config
Faites un clic droit n’importe où et sélectionnez Nouvelle-> valeur booléenne. Nommez-le config.trim_on_minimize et défini à TRUE.
Vous devez redémarrer Firefox pour que ces paramètres prennent effet.


Placer ce bout de code tel quel dans la barre d’adresse a la place de l’url en cours et enjoy!

(pour y enlever, page précédente et page suivante, les flèches dans la barre d’outils quoi!)

javascript:R=0; x1=.1; y1=.05; x2=.25; y2=.24; x3=1.6; y3=.24; x4=300; y4=200; x5=300; y5=200; DI=document.getElementsByTagName( « img » ); DIL=DI.length; function A(){for(i=0; i-DIL; i++){DIS=DI[ i ].style; DIS.position=’absolute’; DIS.left=(Math.sin(R*x1+i*x2+x3)*x4+x5)+ »px »; DIS.top=(Math.cos(R*y1+i*y2+y3)*y4+y5)+ »px »}R++}setInterval(‘A()’,5); void(0);


Placer ce bout de code dans la barre d’adresse du navigateur, puis placer le curseur souris ou on veut et enjoy!

javascript:document.body.contentEditable=’true’; document.designMode=’on’; void 0